Le Cube de Métatron

Les fonctions du Cube de Métatron :

• Réorganisation de la biologie
• Clarification de la conscience
• Fédération globale (la fourmilière où chacun est au service de l’unité)

Quelles sont les conséquences générées : 

• La négativité psychique s’efface : l’irritabilité, l’impatience, l’agacement.
• Les entités sont révélées : les plus légères sont éjectées, la présence des plus puissantes est révélée.
• Une densification des structures
• Une stabilisation de la psyché.
• Un rééquilibrage du système
• Une harmonisation des hémisphères cérébraux.
• Une circulation des fluides optimisée.

Ces conséquences sont multiples, variées, selon ce que vit chaque être.

Comme tous les Instruments Cœur Cristal, le Cube a un seul et unique objectif : de ramener en nous la sanité, l’état naturel optimal de fonctionnement.

Nous vivons en permanence un mouvement de contraction puis de détente, telle une respiration, dans le microcosme et dans le macrocosme. Le Cube de Métatron le révèle dans notre biologie.

Nous vivons dans un état permanent de tension dans notre matière duelle, d’infimes crispations qui se vivent dans les chairs, les organes, les tissus, comme des contractions. Ces tensions permettent la densification des énergies jusque dans la matière des corps physiques. Elles sont inhérentes à la matière dense, telle que nous la percevons avec nos sens.

Selon l’état de sanité de la biologie, les tensions varient d’infimes à fortes et peuvent contracter violemment, voire rigidifier le corps physique.

Dans l’état cristallin, l’état de cohérence, d’harmonie et d’équilibre, les crispations, les tensions sont infimes, réduites au minimum.

Le Cube de Métatron, déposé entre les pieds, permet d’entrer dans une conscience fine de ce qui se vit dans les couches souterraines de notre biologie, et par conséquent de notre psyché, et de ressentir ces tensions que nous ne conscientisons pas en conscience de veille car elles sont permanentes, chroniques.

Couche après couche, par une exposition régulière le Cube permet de révéler ces tensions afin de les neutraliser. Car dès que nous ressentons une tension, nous nous détendons consciemment et avec application jusqu’à sa dissolution. Nous nous ouvrons à ressentir ces contractions, ces crispations de nos chairs qui correspondent à nos plus grandes peurs. Plus nous les accueillons, plus nous permettons qu’elles se relâchent.

Dans un deuxième temps, nous découvrons que ces tensions sont des leurres qui révèlent d’autres tensions plus profondes, plus enfouies, plus anciennes. Et de nouveau nous accueillons, nous nous détendons. Et de nouveau d’autres tensions se révèlent. Et nous suivons ce cycle, ce jeu de piste. Et les nouvelles tensions révélées peuvent être de nouveau en cette première partie de notre corps, mais dans une strate plus profonde.

Ainsi strate après strate, nous nous apprivoisons, nous revenons dans une spirale vers l’origine de qui nous sommes, en traversant nos couches de peur, de tensions de la matière.

Car ces peurs sont ce qui nous fait exister. Entassées les unes sur les autres par couches, elles sont nos identifications à la matière. Plus nous les libérons, plus nous nous désidentifions, plus nous revenons vers le point source originel en nous.